5 startups algériennes qui s’exportent

Publié le: 10 août 2019

Startups algériennes qui s'exportent

Avec le lancement constant de nouvelles applications et sites, le marché de l’économie numérique en Algérie connaît depuis peu un nouvel élan. Un élan qui permet même à certaines startups  de s’exporter.

Que ce soit sur les marchés voisins, tunisiens et marocains, ou en Europe, les startups algériennes n’ont plus peur de franchir le pas et les frontières.

Si le nombre de startups et d’initiatives numériques qui s’exportent reste faible comparativement aux startups de la région, 5 startups font en sorte de montrer la voie à leurs consœurs pour mettre en exergue l’expertise algérienne.

Yassir :

Le leader du marché des VTC en Algérie ne manque pas d’ambition. Après la Tunisie en mai, YaTechnologies prépare l’entrée de Yassir au Maroc. S’en suivront par la suite d’autres pays francophones d’Afrique.

Le lancement éminent d’Uber dans le pays est loin d’effrayer Yassir, considéré par beaucoup d’experts du domaine comme le grand gagnant de la guerre des VTC.

Quizzito :

Lauréate de la compétition STEP Saudi en avril dernier,  Quizzito compte des écoles clientes en Algérie bien évidemment, ainsi qu’en Tunisie, au Maroc ou encore en Jordanie.

Lancée en 2016, Quizzito se fait tout doucement une place dans les next big players du secteur de l’e-learning.

Emploitic :

Avec plus de 10 ans au compteur, le doyen des services d’e-recrutement en Algérie ne s’est pas contenté du marché local. Le Maroc et la Côte d’Ivoire ont été le premier terrain de jeu de la startup hors de ses bases, avant de s’installer au Sénégal au travers du consortium Novojob.

Formini :

Spécialisée dans la formation VMWare, Formini a eu à donner des formations à Haïti, en Suisse ou encore en Côte d’Ivoire en plus du fait de former en Algérie autour de Docker, RedHat et autres technologies.

Legal Doctrine :

Récemment distinguée par le titre de la meilleure legal tech startup d’Afrique, Legal Doctrine compte dans son portefeuilles clients des entreprises et des particuliers français, suisses ou encore italiens.

Une version en anglais et une version en arabe du site, prévues cette année, devraient continuer à renforcer l’internationalisation de la startup.