Conséquence de l’affaire Pegasus, le ministère de la Communication annonce le lancement du premier centre de cybersécurité civile d’Algérie.
Une annonce qui a de quoi rassurer, étant donné la situation catastrophique du domaine durant les années précédentes.
En effet, «l’Algérie a occupé la 1ère place arabe et la 14ème mondiale sur la liste des pays les plus exposés à la cybercriminalité pour l’année 2018», nous confirme le ministre Belhimer.
Cette initiative vise à réaliser une sécurité informatique relative à la vie des individus et des organes de l’État. Le centre de cybersécurité bénéficiera par ailleurs à plusieurs entreprises et organes.
Dans l’optique d’une évolution des domaines liés à l’informatique, en particulier le paiement électronique qui connaît une progression stable et propulsée par le gouvernement, la cybersécurité devient une affaire primordiale, qui concerne tous les pays en voie de développement.